Le bottin des avatars est a jour ! N'oubliez pas de vous y rendre une fois que votre fiche sera validee ~
Privilegiez la race des humains mais aussi les personnages speciaux qui n'attendent qu'a etre joues ! Bon jeu a vous !
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| Un oeil dans la poche | Aj'trus, de pas son vrai nom! | |
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Aj'trus Renegad
Afficher infos Messages : 3 Feuille de personnageVie: (0/0)lv/LV: 1Inventaire:
| Sujet: Un oeil dans la poche | Aj'trus, de pas son vrai nom! Lun 17 Juil - 6:36 | | | | AJ'TRUS« Celui qui disperse ses regards sur tout ne voit rien, ou voit mal. »Carte d'identité⟡ Nom(s) : / ⟡ Prénom(s) : / ⟡ Surnom(s) : Aj'trus Renegad, parfois "Aj"
⟡ Sexe : Intersexe ⟡ Race : Monstre ⟡ Âge : De 4 à 99 ans (et plus)
⟡ Mode : Génocide ⟡ Métier : Forestier
⟡ Particularité(s) : Aj' se désigne lui-même comme un être doué d'ubiquité. Cela se réfère davantage au sens scientifique dans un premier temps, pouvant s'adapter à de nombreux biotopes, ainsi, un terme plus adapté serait "cosmopolite" d'un point de vue biologique.
Ensuite, il y a son apparence, l'œil unique qu'il laisse percevoir étant une succession de cercle qui se répète en une étrange fractale, chose considérée comme propriété ubiquiste en mathématique.
Finalement, ce même œil est un... Trompe-l'oeil, donnant l'impression de vous fixer peu importe l'emplacement où vous trouvez. Dernière mention de cette ubiquité avec le pouvoir d'Aj'trus, mais ça, il y a une partie spécialement prévue pour!
Après oui, en tant qu'Amalgami, il possède en un certain sens un don d'ubiquité mais seulement vers le passé, parvenant à atteindre les souvenirs d'une multitude de personnes simultanément tout en... Nah, ce paragraphe sera d'avantage développé dans la partie "Caractère".
⟡ Inventaire : Une tenue quasi-complète pour le contenir et ne pas s'éparpiller partout...
Ce serait dégoutant...
Ah oui, éventuellement, six cornes de brume (air horns) qu'ils portent comme des pistolets. Il considère ça comme une arme d'auto-défense ou plutôt, d'une arme de dissuasion terrible. En même temps qu'un instrument de très bon goût. "You're gonna have a bad time" comme dirait l'autre, si vous me passez l'expression. | |
Pouvoirs et capacités Amalgami : De par sa nature propre, Aj' possède une série d'avantages et d'inconvénients. Pour commencer avec cette seconde catégorie, le monstre semble fondre sans cesse à l'exception de ces nombreux globes oculaires, raison pour laquelle il ne peut pas courir tout nu partout.
Avec cette particularité vient aussi des avantages car Aj' est un être qui, à défaut d'être mort, ne se considère pas réellement comme vivant non plus. Etant plusieurs en un seul, avec une enveloppe parfois molle, le monstre peut se scinder en plusieurs parties tout en prenant en compte un "corps principal" dans lequel la plus grande partie de sa concentration part. Ainsi, si des parties annexes s'éloignent trop ou alors, qu'il prend un mauvais coup, ces parties éclateraient, ou plutôt, se disperseraient.
Le principal avantage de ce "pouvoir" est d'être facilement rafistolable, Aj' n'ayant qu'à se rapprocher de la partie détachée pour lui redonner de la force si celle-ci n'a pas encore atteinte de phrase critique et ainsi, rattacher les morceaux, si j'ose dire.
Symbiote végétal : S'il est techniquement capable de se déplacer sous terre si la surface n'est pas trop dure, l'idée serait cependant catastrophique pour lui (entrant en conflit avec le "pouvoir "Amalgami"). En contrepartie, il a gardé un lien avec la nature assez important pour pouvoir faire confiance avec les végétaux.
Ce pouvoir est une capacité de soin. En présence d'êtres vivants de ce genre, Aj' peut se régénérer en leur "volant" leur âme ou plutôt, en leur empruntant leurs forces en attendant d'avoir une alternative plus saine. A l'extrême, le monstre peut se révéler être un véritable parasite, plongeant à l'intérieur de l'entité végétal, peu importe la taille de cette dernière, pour fusionner avec et guérir à l'aide de ses racines, de ses respirations.
Justice : Seul pouvoir a été réellement dangereux de l'individu, il s'agit de la manifestation de projectile expulsé par des "bulles" qui éclatent et qui libèrent des pétales très légères. Difficile de dire s'il s'agit d'une partie molle comme un amalgami ou alors, de végétaux. Quoiqu'il en soit, ces pétales semblent pouvoir être projetées dans une certaine direction sous forme de "tirs" avec un pouvoir qui s'adapte à la cible atteinte :
Dans le cas d'une personne neutre, les pétales ne feront rien et éclateront juste en poussière sans plus d'effet.
Dans le cas d'une personne pacifique, les pétales s'animeront lors du contact pour se comporter comme des vers et pénétreront la personne sans produire de dégâts et même mieux, le pouvoir de la "Justice" soignant l'individu atteint par le tir.
Finalement, dans le cas "génocide", les vers en question ouvriront une gueule et prendront la forme d'un trèfle avec les feuilles vers l'intérieur du corps avant d'éclater encore une fois comme des petites bombes.
(Capacité diverse) Echo : Aj' peut "stocker" une information verbale pour la répéter à l'identique avec la voix qui va avec, empêchant la perte d'informations à cause des problèmes du personnage à parler correctement.
Physique De par sa nature, il est assez difficile de définir un Amalgami, surtout quand ceux-ci sont en partie issus d'un slime ou d'un moldesa. Mais plus encore, une définition semble avoir été écrite pour les gens comme lui : "Nul ne saurait décrire le monstre; aucun langage ne saurait peindre cette vision de folie, ce chaos de cris inarticulés, cette hideuse contradiction de toutes les lois naturelles (et de l'ordre cosmique, mais là, ce serait quelque peu exagéré...)"
Cependant, Aj' a su trouver une certaine lucidité pour trouver une forme physique plus abordable pour l'underground. Commençons par les bases; son sexe, sa taille et son poids.
Pour ce qui est de son genre, il est "intersexe", ce qui ne doit pas être confondu avec une quelconque transidentité ou encore, de l'hermaphrodisme. Ici, nous parlons d'un être échappant des standards médicaux et autres, n'ayant pas d'attribut physique pouvant le décrire comme un mâle ou une femelle et d'ailleurs, même dans son verbe, il préfère laisser le doute en montrant encore une fois sa lucidité, se nommant "nous" ou "Aj'trus".
De quoi est-il fait alors? D'une substance claire ou grisâtre, laissant parfois quelques fois entrevoir des tâches plus sombres où de petites lueurs jaunes peuvent fuir, mais nous en reviendrons plus tard. Ici, parlons de sa taille et de son poids comme promis. Sa taille n'est pas une "moyenne" de ce qui le compose mais bel et bien un condensé de celles-ci, plus ou moins. Haut de deux mètres trente (2m30) si on ne compte pas sa tête flottante. Il s'agit de la "taille minimale" qu'il peut atteindre en étant entier, pouvant donc gonfler dans une certaine mesure avec les bulles d'air se baladant dans son corps et ainsi, dans les forêts enneigées de Snowdin ou à Hotland, les conditions rudes sont idéales pour l'empêcher de grandir. En dehors de ces conditions, le monstre peut gonfler comme une plante ayant trouvé un terrain fertile bien que cela n'affecte pas sa force ou son poids, se maintenant généralement dans ces cas spécifiques à une taille de trois mètres vingt-six (3m60) et quant à la région de Waterfall... Ce n'est pas que le narrateur ne veut pas se lancer dans d'autres calculs compliqués, mais disons que cette information n'est pas communiquée. D'accord?
Pour ce qui est du poids, comme dit précédemment, il n'y a pas de vaisseaux sanguins ou d'organes, juste un slime grisâtre et en conséquence, son poids est forcément impressionnant. Avec la densité d'un séquoia trempé, le monstre atteint les trois cents vingt kilogrammes et huit cent vingt-neuf milligrammes (320Kg83), ce qui est considéré par les humains, en vue de sa "taille minimale" comme une obésité modérée. Ce qui est plutôt raisonnable quand on voit comme Aj' peut être flasque! Cette parenthèse sur la densité du séquoia est aussi un facteur rassurant pour la bête, il fait partie en quelque sorte des "résineux légers", ce qui explique son odeur légère de sapin lorsque tout va bien, et de crème de sapin lorsqu'il est en relative paix intérieure, pour ceux qui connaissent et pour ceux qui ne connaissent pas... Imaginez un bonbon fait à base de sève de résineux.
Finalement, comment se présente Aj'? Sous une forme bipède avec deux à quatre tentacules visibles. Enfin, pour être plus précis, l'Amalgami en possède huit et pas réellement de jambes donc considérons deux bras, deux jambes et quatre tentacules pouvant déborder de la tenue qu'il porte pour ne pas se dissiper ou se perdre en fondant lors de ses balades. Pour les yeux, ceux-ci pourraient être vus comme de petits et étranges soleils : des sphères de taille variable avec comme maximum décrit ici de la taille d'une tête, pour celle qui flotte au-dessus des "épaules" du monstre. Les sphères sont d'un jaune lumineux, avec des sphères successifs de plus en plus sombres et de plus en plus lumineuses pour offrir cet effet trompe-l'œil. Ainsi, vous pourrez toujours voir la sphère noire centrale, donnant cette impression d'être observé. S'il s'agit bel et bien d'yeux, en possédant cinq principaux avec cette taille de crâne et une totalité de 108. Cela pourrait être un avantage mais non, pas vraiment... Ce pourquoi les sphères restent dans le corps de la bête et n'ont apparemment aucun point, voire aucune existence si le slime ne les libère pas par les petites failles évoquées plus haut. Donc, ce nombre pourrait bien être simplement un moyen d'impressionner, un nombre totalement donné au hasard.
Maintenant pour les détails, il faut savoir que l'armure peut s'ouvrir au niveau du torse ou plutôt, se plier avec assez de force pour faire apparaitre un bouche et l'on pourrait se demander si, comme pour les yeux, il n'y aurait pas un nombre improbable mis non, Aj vous dira que c'est là sa principale (et seule?) bouche. Expliquant peut-être pourquoi il a dû mal à parler lorsqu'il ne s'ouvre pas le torse ou produit des bruits de bulle lorsqu'il essaie parfois. Soit. Cette bouche est quant à elle circulaire, avec de jolies dents pointues rappelant à certains peut-être ce qui se trouve au sommet d'un moldbygg. Pas le plus évident pour sourire.
Caractère Celle qui amasse est une courageuse gourmande. Comédienne pro-humaine ou plutôt curieuse à en mourir, elle cherchait l'amour... Ou plutôt une forme d'amour. D'un autre côté, cela ne l'a pas empêché à s'assumer en tant qu"homme" alors que son espèce n'était pas réellement reconnue pour avoir des genres bien définis mais surement que la vie commune avec les êtres humains l'aura poussé dans cette idée de faire un choix, bien que pour s'assumer totalement, le moldesa ait parfois chercher l'amour trop "activement" en abusant de capacités raciales...
Celui qui observe le Droit est quant à lui un justicier paresseux et paradoxalement, un homme effacé par l'impression d'avoir fait perdre leurs temps aux gens avec lesquels il a pu partager sa vie par le passé. Très effacé, admirant silencieusement les autres ayant davantage de courage que lui-même, pouvons-nous parler de petite nature? Voire de bébé pleurnichard?
Une charité pleine d'envie, voilà celle qui interroge. Timide, persuadée d'être laide et effrayante, elle a toujours voulu servir, peu importe à qui, la lançant dans des relations malsaines pour être un minimum appréciée. Ironiquement, derrière un écran, elle est plus à l'aise, s'exposant et discutant sans le moindre soucis et même un peu trop, la laissant penser qu'une certaine mort pourrait l'aider à sortir d'une situation sans la moindre issue pour elle.
Celui qui récolte. Un mélange d'espérance et de colère. Un ermite quant à lui, curieux et débrouillard, à l'intérêt pour les sciences certain, il ne supporte pas les remarques et a tendance à les fuir, préférant de loin la politesse malgré un défaut de langage évident.
Celle qui détient la parole est une criminelle et une justicière à la fois et je dirai même plus : une avarice pleine de foi. Fille sans famille dont les seuls souvenirs de celle-ci semble être une mère violence, elle essaie de tisser une toile confortable, assez solide pour soutenir le poids de ses choix, rêvant de liberté pour tous dans un certain sens et toute cette pression se traduit par des locutions souvent trop longues, une vilaine tendance à couper les autres dans leurs paroles.
Le père sans enfant est la prudence orgueilleuse. Sûr de ses capacités mais pas de ses possibilités, il a tendance à ralentir les choses pour être sûr, de crainte de faire un mauvais choix et voit en tout une infinité de bifurcations, conscient d'un "effet papillon" parfois dévastateur. En conséquence, il a souvent des images du passé qui lui reviennent, parfois en tant que père, parfois à propos du sien qui appréciait ces humains et ces hybrides, provocant en lui une haine envers eux, surement par réaction, comme beaucoup d'adolescents ont pu avoir pour acquérir une certaine indépendance envers leurs géniteurs. Toujours à la recherche d'un compromis, toujours, même lorsque ceux-ci semblent être trouvés. Difficile d'avoir sa confiance, bien que son hypocrisie constante et son côté secret pourraient vous faire croire le contraire.
Adaeze, Justin, Tamara, Radoslaw, Uriah, Saga...
Des gens ne se ressemblant pas, autant physiquement que mentalement mais pourtant, à présent, ils sont tellement semblables, effrayés à l'idée de disparaitre et à l'idée d'exister... Des points de vue différents sans être forcément opposés, voilà ce qu'est principalement Aj'Trus. Un monstre comme un autre, avec ses contradictions et ses certitudes, certainement.
Biographie(La poésie en introduction est un mélange de la dernière tragédie de Jean Racine "Athalie" et "Sur le carnaval de Venise" de Théophile Gautier, légèrement modifié) Là, sous-terre, pour le bal s'habille. De paillettes tout étoilé, Scintille, fourmille et babille Le carnaval bariolé. Oui. je viens dans son temple adorer l'Éternel ; Je viens, selon l'usage antique et solennel. "Car je rends allégeance à des puissances que le temps n'atteint pas, que le destin n'ébranle pas. Nulle entité en ce monde ne détient la force de nous faire courber l'échine."Depuis l'aube de cette nouvelle vie, les voix, emprisonnées et en sommeil, ont murmuré au subconscient de ce chaos vivant, subvertissant ses pensée et ses sentiments, le conduisant parfois à un semblant de folie. Les murmures poussent ce quelqu'un à faire de sombres et terribles choses, certains suspecteront. Ce sont de subtiles chuchotements qui finissent par devenir indiscernables des propres pensées de celui qui s'était "lui-même" surnommé Aj'thus et peut-être cela n'en a jamais été autrement... "Tu seras plus que ce nous avons été... Et quand l'heure viendra, pour ce que nous t'avons donné... Tu nous serviras aussi..." Qui est là? Une masse informe s'élève et plus bas, dans une sorte de flaque poisseuse, la lumière se reflète, prend étrangement formes. Un cercle, l'idée d'un cycle ou plutôt, d'un éternel recommencement confortable tout en étant désespérément vide. La sphère qui se forme, voulant imiter la lumière, tremble en regardant l'ombre de ce slime qui s'élève et qui se déforme. Que devrait voir cette lueur? Des griffes, une main? Etre effrayé simplement de voir cela comme son "corps" pourrait effrayer, l'idée que cette appendice difforme existe. Instinctivement, d'une voix grave et aigue, quelque chose lui indique que c'est un bras et le son l'effraie. Il sait ce qu'il doit demander : qui est là? Il ne sait cependant plus comment articuler cette simple question. Il n'y a pas de douleur, juste la barrière du langage et alors qu'il essaie, il se rend compte de ces dents juste en face de lui, dont le liquide épais coule et semble le traverser, ces dents formant un semblant de bouche sans fond qui tremble, comme ce semblant d'œil le fait. Ils ont peur, ils... I - Amour - I Sahar ou "Saga" pour les intimes, justicier à l'œil unique, père de famille... Si l'on peut appeler ça encore un père. La vie a été longue et bien remplie, dirons-nous. Plus vieux dans sa petite brigade, il était père il y a de ça bien bien longtemps... Il avait cinquante-six ans à l'époque de la "grande guerre" contre les humains, chose qu'il n'était jamais parvenu à oublier bien que d'un autre coté, il devait faire régner une certaine Justice dans l'Underground avec ses gars, car la royauté l'avait décidé et plus encore, par la suite, il devait obéir au prince et à la reine... Oh que de souvenir de sa chère et tendre et de ses enfants lorsqu'il pensait au tableau. Peut-être le plus dur à supporter, peut-être ce qui l'aidait à se maintenir droit en toute circonstance malgré le poids des ans, facteur qui lui valait quelques blagues ici et là des "copains", malgré le poids des ans qui le rendait un peu plus froid à chaque fois qu'il croisait un nouveau criminel sans jamais dépasser la ligne, celle ultime limite qu'était le meurtre car la guerre était malgré tout finie. Qu'il en ait décrété le contraire pendant plus de deux siècles, jusqu'à la venue des réfugiés qui le freinaient dans ses décisions. L'astigmate avait toujours été trop lent, et ce n'était pas le poids des ans qui l'aideraient à améliorer le trait. Uriat, petite criminelle à huit pattes qui était toute seule, malgré les rêves de "clan" et malgré la réalité que certaines demoiselles boulotées leurs maris après les noces. Mais qui avait bouloté sa mère? Pas elle, et pourtant elle y avait pensé. Cette vieille toile était du genre mère violente des bas-fonds, si vous voyez ce que je veux dire. Elle pouvait s'en sortir seule et elle le prouverait! Mais impartiale et violente, elle croisait ainsi la route parfois de petits malfrats qui l'aidaient dans sa tâche ou à l'opposé, qu'elle aidait si cela lui permettait de s'amuser ou de s'en prendre à un plus méchant qu'elle. Mais peut-être que cette fois, elle aurait dû réfléchir avant de parler car de larcins en larcins, sa soif de justice l'avait emmené à tuer parfois bien qu'elle voulait toujours sauver tout et n'importe qui, tant que l'innocence était encore d'actualité. Cela faisait quelques mois, peut-être même une petite paire d'année que l'innocent et la criminel se faisaient une petite guerre et cela amusait follement la petite, cette idée d'être prise dans la toile d'un monstre plus grosse qu'elle, si sérieux, si différent des autres, incorruptible. Mais cette fois, elle avait tué les deux guignols qui suivaient le justicier, bien que c'était en se défendant. Une défaite qu'elle souhaitait vite devenir la dernière... Une petite crise de nerf sur place de la part de l'enfant sans père et un constat macabre de la scène par le père sans enfant plus tard, ils discutèrent... Longtemps. S'il ne pouvait pas l'arrêter, il pouvait la changer. Après tout, Uriat avait ses petits talents et avait déjà mis hors d'état de nuire des vilains, bien que les méthodes n'étaient pas celles préconisées par l'ancêtre. Elle avait cependant décider d'assumer ce qu'elle avait pu faire contre la Loi, voulait se rendre et restait stoïque après un échange hilare avec Saga plus tôt, son premier rire depuis longtemps. Voulant pour cette petite une nouvelle vie, le vieillard élève la voix, la tire, il entend déjà les renforts qui arrivent et pour une fois, il ne veut pas être trop lent mais, en même temps, cette dispute ne prendrait jamais fin, leurs avis étaient trop différents, à chaque rencontre... Ils tombent. Mais allongée, elle s'éveillait, avec une lueur dans ses yeux multiples et des bandages partout sur le corps, une main paternelle venant la protéger de cette lumière trop intense. Il était là aussi, plein de bandage également. Ils ne sont pas en prison, ou du moins, pas dans celles dans laquelle ils auraient dû se rendre mais l'astigmate était de nouveau sérieux pour les sortir d'ici et elle, elle se disait que finalement, une petite pause entre quatre murs pourrait être encore mieux qu'espérer, sous les bons conseils d'un ancêtre, même si jamais elle ne lui dirait. II - Espoir - II " C'est tué ou être tué", voilà une leçon que ce triste personnage avait bien compris même si ce n'était pas littéral, bien évidemment. Connu dans le monde de la scène pour ses capacités à imiter les gens dans des spectacles mués. Adaeze le moldessa, était un comédien vivant sa minute de gloire. Au contact des humains, il voulut être aimé et pour se rendre plus présentable selon les standards de ces derniers, il décidait par lui-même de ce qu'il serait : un homme. Mais ce qu'il était n'était pas humain, il était juste une chose informe, un effet de mode et cette idée d'être oublié le rendait fou, un peu plus chaque jour, tout en lui offrant cette détermination nécessaire pour continuer et se donner à 200%. Il n'était pas humain, mais il ne voulait pas être défini comme un stupide moldessa, il serait le Comédien, Adaeze. Le plus grand, le plus beau, celui qui amasserait la gloire sans jamais la rendre. Mais il y avait Mettaton qui se prétendait être aussi charismatique, qui présentait le même amour que lui pour l'action et le drame... Soit, le comédien allait lui montrer la différence de niveau entre lui et ce produit de consommation rapide! Corrompant les forces de l'ordre lorsque l'occasion se présentait pour mettre en scène son triomphe, la plèbe allait adorer... De l'autre côté du miroir, une shyren qui trouvait un échappatoire dans l'UnderNet sous le pseudonyme de TAMARA. Sous couvert de l'anonymat, elle pouvait s'exposer davantage et se faire des amis de toute part de ce monde sous-terrain, sans jamais réellement dire qui elle était. Mais surtout, cela lui donnait du courage, celui de dénoncer et interroger les gens avec un effet certain. Avec une petite fanbase, elle pensait pouvoir changer les choses, comme elle avait essayé de le faire en s'interrogeant sur les forces de l'ordre et leurs "bavures". Dans la vie de tous les jours, elle avait un ami de longue date, un énervé de la scène aussi peu bavard qu'elle en vrai et voyant sa détresse lorsqu'il râlait contre une certaine machine, elle aurait tout fait pour le rassurer et le faire sentir "homme"... Bon, pas la peine de continuer sur cette piste, j'espère? Ils s'entendaient bien, il pouvait se livrer à quelqu'un sans peur que ses plans ne soient dévoilés et elle, elle pouvait être elle-même et servir, même si la relation avait ces petits côtés malsains. C'était un jour comme un autre, un mercredi calme, où ils discutaient jusqu'à ce que l'incident n'arrive. Un criminel, un fanatique, un extrémiste...? "Tamara" était poignardée sur la terrasse, l'un de ses messages ayant été compris comme un appel aux armes et ironiquement, c'était d'elle-même qu'elle avait protégé cette star frustrée qui ne tardait pas à subir le même destin qu'elle. Au fond, c'était peut-être mieux. La situation était sans issue, elle ne voulait pas voir ce qui se passait et rêvait sa vie (plutôt que vivre ses rêves, à cause de sa timidité surement) et savoir ce qu'elle avait provoqué... Ce n'est pas ce qu'elle souhaitait, et elle le réalisait en cherchant de l'aide autour d'elle pour aider son "petit ami non-officiel". Pendant cette agonie, elle voulait le moldessa être pris en charge de manière prioritaire, se rendant compte par la même occasion que l'on n pouvait pas sauver tout le monde tandis qu'Adaeze voyait pour la première fois les malheurs de la célébrité, n'ayant pas été protégé par les forces qu'il achetait... N'ayant pas été protégé... Encore une ironie. Un retour à la réalité des plus violents pour ces deux amants qui connaissaient l'autre bien plus que n'importe qui d'autre. III - Compassion - III Le comédien avait un grand fan quelque part en ces terres. Un monstre discret, effacé, ayant l'impression de faire perdre leurs temps aux gens avec lesquels il parlait quelque fois bien qu'au fond, il y en avait certain pour lesquels il ne pouvait pas faire autrement. Quelque fois, il avait même l'impression d'aider, et c'était un peu son occupation lorsqu'il ne se chargeait pas de son petit jardin... Un petit jardin dans la neige, n'était-ce pas là une occupation ridicule? Au début poussé par un vieillard nommé Semi, il allait, chaque matin, se rendre chez la lapine s'occupant de la boutique, pour ne pas mourir de fin et remplir le frigo lui servant d'habitat et c'était à cette occasion que l'emoplasme discutait, au début contre son grés. Elle l'embêtait gentillement, un peu comme le papy ayant vite disparu pour lui laisser la place de vivre, et elle, elle lui indiquait qu'un membre de sa famille s'occupait d'une auberge bien chauffée et que cela ne devrait pas être un problème pour quelqu'un capable de faire des petits achets tous les jours comme lui. Elle était gentille... Mais lui ne voulait pas déranger. Et le soir, il regardait la télévision Adaeze, ou alors Mettaton bien que ce dernier l'enthousiasmait moins. Trop excentrique, bien que sa passion lui mettait parfois du baume au cœur. Ce cœur battant, d'une manière ou d'une autre et il essayait de prendre un peu plus d'assurance, pour aller discuter avec sa "belle" mais ce cœur qui battait battait trop fort, comme glacé par un enfermement prolongé et il se brisait un peu plus qu'il évitait d'aller trop loin. Hésitant, voyant là une chose naturelle de la vie, la mort, le petit être décidait cependant de trouver une solution pour retenter sa chance avec la lapine un autre jour, se rendant maintenant à la librairie pour se renseigner sur la magie, sujet qui occupait bientôt tout son esprit pour trouver LA solution mais bien sûr, son esprit se dispersait en voyant les légendes urbaines de "filtre d'amour" ou de "bonbons pour la faire craquer", en oubliant sa survie, trop longtemps, jusqu'à ce que son corps ne puisse plus tenir et qu'il ne s'effondre, affaibli par l'attente trop longue, un matin glacial où il se trainait pour tenter quelques blagues entendues à la télévision et se faire passer pour un mec cool, ou au moins, juste un peu. De l'autre côté des souterrains, un scientifique tout aussi orphelin, sans souvenir de ce qu'il avait pu être avant, lorsqu'il souriait encore, comme un certain cœur perdu à l'autre bout de ce monde. Son enfance? Il prétendait trop bien la connaitre : toujours des commentaires pour son physique de "carotte" ou encore, des réflexions sur sa couleur de peau, souffrant d'une forme d'albinisme qui le rendait trop clair, attiré les regards dans la région de Hotland. Ces gens paraissaient gentils mais il n'y avait rien de désintéressé, déjà petit, le dénommé Radoslaw subissait les mêmes brimades qu'un certain emoplasme nommé juste Justin, faisant les devoirs d'autres et étant le punching ball de la cour de récré. Avec l'aide de la science, il pensait pouvoir créer quelque chose de nouveau, d'utile, mais pas pour aider de manière visible la plèbe : une dictature éclairée. Ses élans mégalomanes étaient arrêtés ou du moins freinés par une brève correspondance avec l'un de ses professeurs, ou l'un qui l'aidait dans les plus sombres périodes de son enfance, un dénommé Sahar, en réalité un représentant de l'ordre mais un représentant génial avec lequel il pouvait avoir des discussions intelligentes quelque fois, mais une fois... Une question stupide, est-ce qu'il n'y a rien qui te motive dans la science? Non, Radoslaw n'aimait que la Science... Et l'ancien scientifique royal. Il ne le connaissait pas plus que ça et déjà ça, c'était beaucoup dire mais tout ceux qui s'intéressaient à lui semblaient faire des hypothèses, ils ne pouvaient qu'imaginer et d'un point de vue scientifique, Gaster était un peu une sorte de Saint-Graal et l'admiration se transformait en une sorte d'amour à théoriser. Plus que des théories, le disparu était la "Science" : toujours des doutes, quelque chose que l'on peut peut-être définir avec des formules jusqu'à ce qu'une thèse plus solide ne la change. Quelque chose dont on s'approche mais qu'on n'atteint jamais et en soi, d'un point de vue d'intellectuel, il était ce but de perfection qui faisait aussi cauchemarder car la perfection, c'était en quelque sorte la fin du progrès et ironiquement, de la science. Un appel autodestructeur objectif. Ils étaient tous les deux allongés sur des lits voisins et ils réfléchissaient, se regardant parfois l'un l'autre en se disant que ce n'était pas si mal d'avoir quelqu'un à qui parler sans le connaitre, comme si la gêne était moins présente, encore une ironie. Ils partageaient cependant des souffrances communes et ne plus être seuls dans la vie, même si c'était être allongés dans un lit car l'un mourrait de sa pauvreté et l'autre, des complications d'une santé fragile qui s'étaient manifestées avec l'albinisme très jeune. Comme quoi, la fin pouvait venir au début, tout comme elle pouvait logiquement être après. Il n'y avait plus que le vide à remplir avec des discussions vides et quelques rires vides. Une étrange empathie, en soi. IV - Rien de tout ça - IV Des souvenirs ici et là, des choses bien étranges comme s'il était une âme vierge de tout souvenir et que des gens se succédaient pour lui raconter ce qu'il était censé être. Mais comment pouvait-il les entendre? Est-ce qu'ils se cachaient quelque part? Non. Cet espace sombre et sans consistance, cela devait être une sorte de "représentation mentale" pour essayer de structurer tout le bordel qui venait d'ici et là et parmi tous les murmures et les cris, il n'en avait compris que certaines brides assez bien pour prétendre connaitre ces personnes qui se livraient à lui. - Maintenant, soyons un peu plus naturels...
Cette voix difforme... Il était parvenu à se contenir pour avoir un flux de pensée plus ou moins cohérent et voilà qu'une voix forte revenait, sans être dans sa tête, même si c'était un concept difficile à comprendre lorsque l'on se représentait comme déjà "dans sa tête". Il y avait cette masse informe qui prétendait être le "naturel", peut-être ce que la nouvelle entité ne voulait pas admettre ou qu'il n'avait pas encore réussi à intégrer. Est-ce qu'il le voyait comme lui le voit? Pour la forme, la Mort était quelque chose de "naturel" et un pouvoir trop grand n'était pas bon pour l'esprit, alors il était juste là pour le rassurer et lui dire qu'il faisait en effet partie de lui d'une certaine manière. Des réminiscences de ce qu'ils avaient été dans le passé, une sorte de garde-fou pour ne pas péter un câble car son esprit restait celui d'un monstre de l'Underground face à un surplus d'informations ou une accumulation de sentiments trop divers et variés d'un seul coup. De couleur morne, la forme semblait privé de lumières et sanglotait parfois, disant ne plus vouloir exister car tout cela n'était pas normal... C'était ça qu'elle contenait. Une sorte de version négative de l'amalgami dans son esprit, comme chacun devait en avoir, probablement. Peut-être aussi que c'était en sa qualité d'amalgami qu'il parvenait à structurer aussi bien l'instructurée...? - J'ai ressenti le Vide nous appeler...
Oui. La mort qui les aurait attrapé si un étrange processus ne leur avait pas permis d'y échapper d'une quelconque manière dont l'éthique ne voudrait pas entendre parler. La forme avait peur de tout également, de l'amalgami mais d'elle-même aussi, bien que la nouvelle entité la voyait comme quelque chose qui l'équivalait. Cette chose se craignait, craignait la mort, ne voulait plus exister mais la Mort l'effrayait également, paradoxalement. Cette nouvelle vie... C'était un "vide" laissé par leurs propres existences. Encore des contradictions... Un passé évident, des souvenirs que chacun souhaiterait oublier mais que l'on ne peut à cause d'un pouvoir de fascination, la curiosité, tout comme celle de la forme pour la mortalité à laquelle elle s'était soustraite. Mais cette crainte, au fond, la nouvelle entité se questionnait : est-ce que cela n'allait pas le ralentir? Comme ce sentiment avait déjà ralenti ces autres lui dans d'autres vies? - Je suis une possibilité... Et vous savez où me trouver...
Un message d'espoir, à travers cette peur d'être oubliée malgré ses souhaits de mourir et de ne pas assumer sa propre existence? Vous savez ce que c'était : une nouvelle contradiction, bien naturelle cette fois. Une étrange sensation, encore une fois. La nouvelle entité regardait les bras, ou peu importe ce que c'était, qu'il parvenait à identifier dans cette renaissance. Il ne parvenait pas encore à se définir comme "quelqu'un" car comme souligné plus tôt, il n'était pas tout à fait naturel. Il était... Quelque chose d'autre. Comme un château, un royaume mouvant, ou une tombe blanche, propre et lisse vue de l'extérieur pour la Réalité, mais une horreur que l'on préférerait cacher dans une boite en théorisant sur son contenu plutôt que l'ouvrir pour faire les observations. La curiosité se devait d'être nourrie, encore un sentiment bien naturel. Et ces théories... Il y en avait tellement. Son esprit perturbé ne lui permettrait pas de comprendre tout parfaitement. Après tout, ils étaient plusieurs à se disputer le droit de la réponse et la lumière revenait, la sphère jaune n'étant plus posée sur une bouche morbide mais sur une tentacule qu'il arrachait rapidement de peur, alors que le bout séparée se fondait dans la masse de son corps en-dessous et que les lambeaux tentaient de former des doigts comme il avait pu en rêver quelques instants avant. Son nom, il ne l'aurait qu'après, mais en attendant, il préférait se considérer comme une prison et non pas un château, avec ses détenus et ses gardiens et par gardiens, il comprenait instinctivement qu'il devait prendre soin des gens derrière dont les murmures n'étaient pas encore remontées, cette "forme" qu'il avait rencontré d'une certaine manière, en attente d'un jugement repoussé par les procédés scientifiques qui lui avaient donné vie. Avec le temps, il structurait encore un peu ces souvenirs pour se trouver un semblant d'identité. Ce serait AJ'THUS, le nom semblait ne pas déranger le groupe qu'il incarnait mais une étrange idée lui traversait l'esprit, peut-être la plus folle de toutes alors qu'il avait enfin retrouvé la raison : s'il se définissait ainsi, pourquoi ne pas "être un alphabet" pour être "n'importe quoi", ce serait plus naturel qu'être un n'importe quoi enfermé par les possibilités, non? Que lui fallait-il? Une CLE? Trois monstres à bouffer. Une PRISON comme il le pensait? Six monstres à intégrer. Tellement de possibilités. C'était peut-être ça, être un nouveau-né après tout? - Juste un regard (épilogue) - Etre n'importe quoi, mais pas à n'importe quel prix. L'amalgami réfléchissait tranquillement à l'écart de la société et c'était des restes de Radoslaw, le scientifique, qui lui avait fait penser à cette théorie : son corps était intéressant car il était fait de magie, et intégrer un humain à l'équation pourrait, en dépit du gain de puissance d'une âme pareille, le tuer car il aurait peut-être besoin de respirer, de manger, et son corps n'avait pas les structures nécessaires pour cela. Il y avait quelque chose de faillible avec l'organique et c'était Jink, un humain armé de cornes de brume, qui lui avait appris à ses dépends que sa concentration, une fois perturbée, le transformait presque en liquide, le faisait à la limite exploser. Cet humain... Aveugle à un œil, sans jambe avec un seul bras, des prothèses en bois lui permettant de se mouvoir. Pas de pouvoir magique, juste une certaine vision de la vie assez objective en faites. Le petit était blessé de partout, ne parlait pas beaucoup de lui et cette fois, l'introspection n'aiderait pas Aj'thus à trouver des souvenirs et des réponses. Chose amusante, l'humain aussi se servait d'un surnom, ou plutôt un diminutif car après tout, il était réduit et qu'il avait dû "laisser tomber l'épée" suite à ses handicaps successifs. Encore quelqu'un se surnommant pour se définir... ? Au début, Aj'thus lui avait demandé le pourquoi de ce nom de couverture, voulant chercher des significations aux lettres qui le composaient. Avec cet écart avec les autres, le monstre en avait oublié que les mots avaient un sens, qu'ils n'étaient pas juste des successions de lettres sonnant bien et bien qu'il se prenait des coups de cornes de brumes de temps en temps, cela l'aidait au final à se concentrer, à entrer dans un monde interne qui le rendait lucide et lui permettait de ne pas trop s'oublier. Ce qui ne tue pas nous rend plus fort, certains diront. Blessé de partout, l'humain faisait parfois le mort avec l'amalgami parce que ça le détendait. Il se demandait s'il n'était pas mort à un moment et l'amalgami se posait la même question, même si dans son cas, la réponse était toute bête : il se serait effondré en poussière s'il était bel et bien mort. Malgré le fait qu'ils ne se croisaient pas souvent, parfois, ils discutaient et Jink s'amusait à deviner la suite des phrases du grand tas informe, lui avouant que l'on se cachait tous un peu d'une manière ou d'une autre, lui le faisait avec des cheveux longs laissés en bataille et son œil aveugle qu'il ouvrait parfois, lui donnant des airs invincibles et intimidants, malgré la différence de taille et de poids entre les deux bonhommes. Par la suite, il lui avouait qu'il ouvrait son œil même s'il ne voyait rien, cela effrayait les gens mais il avait besoin de ça pour maintenir l'espoir, espérant que la vue revienne d'une manière ou d'une autre un jour, sans prévenir, car le Destin était parfois joueur. Malgré la situation, l'humain était très observateur, à sa manière. - "Celui qui disperse ses regards sur tout ne voit rien, ou voit mal".
Etrangement, Aj'thus sentait que cette phrase allait le suivre longtemps. Le Destin était parfois joueur. |
| Derrière l'écran⟡ Qui es-tu ? : Un belge qui aime les frites, c't'un bon début de présentation, I guess...?
⟡ Comment as-tu découvert le forum ? :Google
⟡ Comment trouves-tu le forum ? Il est beau et bien structuré, ma foi.
⟡ As-tu lu le règlement ? :
⟡ Pourquoi as-tu choisi ce personnage ? : Je sais que vous avez besoin des personnages spéciaux mais je ne me sens pas l'âme de jouer quelqu'un d'aussi important et pour le "montre" à la place d"humain", disons que j'avais déjà de préparer (un petit OC quand on est fan, où est le mal?)
⟡ Si vous venez à disparaître du forum, que devrions nous faire de votre pauvre personnage ? : Fondre, retourner à la terre... Et finalement, hiberner, si l'on peut dire les choses ainsi avec le temps de ce monde!
⟡ Autre chose d'intelligent à nous dire (ou pas) : Joker.
| Code de Suzukihotaru pour TUH |
| | | Aj'trus Renegad
Afficher infos Messages : 3 Feuille de personnageVie: (0/0)lv/LV: 1Inventaire:
| Sujet: Re: Un oeil dans la poche | Aj'trus, de pas son vrai nom! Ven 21 Juil - 11:10 | | | | Il m'aura fallu quatre jours mais ze zuis un peu fainéant par moments, désolé...
Enfin, voilà! C'est FINI! En espérant que tout ça ne soit pas trop lourd à consommer pour vous, chers lecteurs! (Vous pourrez m'envoyer des oranges en prison, si vous voulez)
J'attends gentillement les retours du Staff, sûrement qu'il y a deux trois erreurs qu'il faudra corriger, yep.
Ps. En bonus, voilà une tentative sur Gimp de faire Aj' dans son état originel (et oui, c'est un gros fail mais ça représente assez bien mon état après une semaine compliquée, je pense!)
- Spoiler:
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| | | Amerlyllian
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| Sujet: Re: Un oeil dans la poche | Aj'trus, de pas son vrai nom! Jeu 21 Sep - 15:47 | | | | Heya Bienvenu au forum ! Je vais prendre ta fiche en charge :B 1) ⟡ Âge : De 4 à 99 ans (et plus) Décide toi, parce que ça, c'est pas clair. Tu peux mettre "inconnu", si ça te chante mais si tu mets un âge, met celui qui se rapproche le plus, please... mets pas une tranche d'âge aussi vaste. Si tu mises sur l'âge de tes composants, c'est pas ce qu'on te demande - surtout que bon, si c'est ce que tu voulais, Sahar a plusieurs siècles... Mets, au pire, quand tu es devenu un amalgami. 2) "volant" leur âme ou plutôt, en leur empruntant leurs forces en attendant d'avoir une alternative plus saine.J'suis pas trop d'accord pour cette formulation. Si tu prends leurs forces, c'est leur énergie, pas leur âme. Et si tu t'alimentes carrément d'âmes... faut voir avec Sans sur Discord (elle n'a pas accès au forum via portable). À corriger. 3) Quel rapport avec un don d'ubiquité ? Je ne comprends pas ce que tu as mis ici : - Aj a écrit:
- Après oui, en tant qu'Amalgami, il possède en un certain sens un don d'ubiquité mais seulement vers le passé, parvenant à atteindre les souvenirs d'une multitude de personnes simultanément tout en... Nah, ce paragraphe sera d'avantage développé dans la partie "Caractère".
À mon avis, ça n'a rien d'un don d'ubiquité si tu as juste les souvenirs de tes composants :/ Et tu n'en parles pas non plus dans la partie capacités si tu "vois" le passé d'autrui. 4) Tu as un style d'écriture très original et lyrique. Tu écris bien et tout mais il y a quand même quelques trucs à corriger puisque ce sont des mots "hors contexte" - qui ont remplacé d'autres qui ne veulent pas du tout dire la même chose : EX: "mourir de fin" ► Faim ou EX : "des petits achets " ► Achats5) Petit commentaire : je ne sais pas quand tu as commencé à aller à la boutique de la lapine mauve mais je te précise que IRP c'est la tante adoptive de ma perso - perso qui travaille avec elle. Donc, si tu prévois de faire quelque chose avec ma famille, fais-moi signe. Ce n'est pas que je me les approprie mais... vu que j'étais ici avant et que j'ai un background lié à cette pnj et à celle de auberge beeeen, vla. Ce serait sympa de respecter ça =D 6) Tu parles de Gaster ? Tu l'as rencontré ou un truc du genre ? J'suis pas trop dac' pour le coup. Faudra aussi parler avec Sans :/ Après, tout dépend de l'âge de ton composant scientifique... 7) Je n'ai pas du tout compris la dernière partie de ton histoire avec l'humain cul-de-jatte et aveugle d'un œil. Peux-tu m'expliquer ce que tu y dis ? Tu absorbes un humain ? Tu deviens pote avec un humain ? Enfin, j'ai eu un peu de mal à lire ton histoire, d'autant plus que je ne comprends pas ta timeline. |
| | | Sans
Afficher infos Messages : 411 Age : 29 Localisation : Snowdin. Humeur : Toujours de bone humeur, ha ha ! Feuille de personnageVie: (1/1)lv/LV: ???Inventaire:
| Sujet: Re: Un oeil dans la poche | Aj'trus, de pas son vrai nom! Lun 9 Oct - 16:43 | | | | |
| | | Amerlyllian
❄ Sweet Snow Princess ❄ Afficher infos Messages : 254 Age : 30 Localisation : Ciudad Real, Espagne Humeur : Changeante~♪ Feuille de personnageVie: (33/33)lv/LV: 7Inventaire:
| Sujet: Re: Un oeil dans la poche | Aj'trus, de pas son vrai nom! Mar 7 Nov - 15:46 | | | | Heya ! Des news ? Dernier up avant l'archive. |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Un oeil dans la poche | Aj'trus, de pas son vrai nom! | | | | |
| | | | Un oeil dans la poche | Aj'trus, de pas son vrai nom! | |
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