Le bottin des avatars est a jour ! N'oubliez pas de vous y rendre une fois que votre fiche sera validee ~
Privilegiez la race des humains mais aussi les personnages speciaux qui n'attendent qu'a etre joues ! Bon jeu a vous !
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| Let me adopt you, lovely plush : [PV Zelevia] | |
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Haelwezhenn Bellovesus
Je suis un hybrideAfficher infos Messages : 30 Age : 30 Humeur : à partir chez IKEA pour une partie de cache-cache. Feuille de personnageVie: (35/35)lv/LV: 6Inventaire:
| Sujet: Let me adopt you, lovely plush : [PV Zelevia] Sam 1 Oct - 0:34 | | | | "Promenons-nous dans les bois ♫" Une semaine. Deux semaines. Trois semaines… sans rien faire. C’était long, terriblement long, surtout pour quelqu’un comme lui, pour quelqu’un qui n’aimait pas rester là, sans rien faire, silencieux. Sa femme commençait à faire n’importe quoi. C’était quoi déjà son nom ? Albertine ? Aline ? Frangine ? Il n’en savait plus rien, il commençait à se lasser d’elle. Elle ne répondait plus, préférant se soumettre à lui que de le laisser se soumettre à elle, adoptant un mode de vie de bonne femme au foyer qui obéissait sagement aux lois du machisme. Ouh oui, elle faisait bien le ménage, s’occupait bien des enfants… Quelle bonne petite ménagère à la cuisine mangeable. Mais une femme sans caractère était comme un fromage sans moisissure : elle n’avait aucune saveur. Il fallait qu’un jour, il l’achève, l’exécute. Mais comment ? Il avait déjà tué ses précédentes femmes de manière cruelle. Là, il avait envie de réfléchir un peu plus, de faire quelque chose de sensationnel. Quoique pourquoi mettre autant de temps pour une femme qui n’en valait pas la peine ? Il fallait qu’il la tue, coûte que coûte, d’une certaine manière.
Ceci dit il avait besoin de se promener. Peut-être que voir des bagarres dans les rues ou même quelques enfants se chamailler un bonbon lui donnerait une idée. Là, il devait l’avouer, il manquait d’inspiration pour faire quelque chose d’original. Il ne devait pas la tuer rapidement, ça il en était conscient. Après tout elle était un monstre et le moindre coup fatal la ferait transformer en tas de poussière blanchâtre. Ah la la. Pourquoi ces créatures ne se gardaient-elles pas longtemps ? Pauvre de lui, il fallait toujours qu’il fasse attention à ne pas les tuer sans avoir pris soin de les faire crier longtemps. En tout cas, il allait devoir sortir s’il ne voulait pas rouiller dans cette vieille bâtisse dans laquelle il créchait avec sa famille crée de toute pièce, une maison pour lui, une prison pour les autres.
Cette fois-ci, il ne partait pas en chasse. Non, il avait déjà assez de bouches à nourrir et sa femme serait davantage peinée si elle venait à découvrir qu’il ramenait encore un enfant. Cinq enfants étaient suffisants pour l’instant ou du moins c’est ce qu’il pensait puisque les deux plus jeunes semblaient se laisser mourir de faim. Tôt ou tard il faudrait qu’il les achève. Oh quoique…. Un jour ou l’autre ils seront bien obligés de manger, non ? Prenant une tenue habituelle sur laquelle il rajouta un gros manteau pour ne pas attraper froid, notre tueur se mit aussitôt à changer les couleurs : une peau aussi blanche qu’une copie de math, les yeux aussi noirs qu’une coca et les cheveux aussi rouge que la couleur de la canette lui suffiraient amplement à se faire passer pour quelqu’un d’autre. Qu’il était compliqué d’être un tueur en série ! Non mais vraiment, il fallait prendre toutes les précautions pour ne pas se faire attraper comme un pokémon !
Il embrassa sa femme et ses enfants avant de s’en aller tout heureux, gardant contre lui ses couteaux de cuisine. Il savait qu’ils ne tenteront pas de fuir, ce serait du suicide pour eux car il les rattraperait sans aucune difficulté. Marchant tranquillement en direction de la ville de Snowdin il entonnait une petite chanson quelque peu glauque aux nombreuses métaphores qui comparaient ainsi des fruits à la décomposition d’un corps. Il croisa quelques gens : rien de bien important, seulement quelques promeneurs, des touristes, des humains qui venaient découvrir les souterrains ou tout simplement quelques petits aventureux. Soudainement, il remarqua la présence d’une jeune monstre de sexe féminin au loin. Oh, les cornes. Elle avait des cornes ! C’était cool, les cornes ! Mais il s’est toujours demandé si les monstres s’en servaient réellement pour se défendre comme les cerfs. Autant lui poser la question. Il s’approcha d’elle, tout souriant avant d’apercevoir son museau. Qu’elle était mignonne ! Une véritable peluche ! Aussitôt sans même crier gare il se jeta sur elle pour la serrer dans ses bras.
« Oh tu es trop choupinette ! Laisse-moi t’adopter mon enfant ! Je sais que ma femme ne sera pas contente mais on s’en fout ! Tu es trop adorable ! »
Là, il n’hésita pas à pincer les joues de l’inconnu en prenant un air gaga :
« Qui ressemble à une peluche ? Qui ressemble à une peluche ? »
Il leva les bras :
« C’est toi ! »
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| | | Zalevia Frost
Je suis une monstre !Afficher infos Messages : 13 Localisation : Et pourquoi je te le dirais ? Humeur : Pas particulière... Feuille de personnageVie: (15/15)lv/LV: 5Inventaire:
| Sujet: Re: Let me adopt you, lovely plush : [PV Zelevia] Lun 3 Oct - 0:03 | | | | Le service d'aujourd'hui n'était pas des plus demandant. Il fallait simplement faire la patrouille autour de Snowdin et intervenir si jamais quelque chose n'allait pas... Ça, c'était un petit travail facile. Le travail qui était donné à Zalevia depuis la commotion... Soupir. Ce n'était pas vraiment le moment de se rappeler de cet épisode. Il fallait continuer le travail. Dans son armure à la fois brillante et majestueuse, la monstresse se baladait dans les sentiers de Snowdin, et étrangement, lorsqu'elle passait près de quelques personnes, silence absolu. Rien, pas même un soupir ou un murmure... Comme si les habitants de Snowdin étaient véritablement intimidés par les membres de la Garde Royale. Particulièrement ceux de la forêt... Est-ce qu'il s'y passait constamment des crimes dans les environs ? C'est pour ça qu'ils étaient si craintifs de l'autorité ? Tant pis. Tant qu'elle ne les prenait pas en fragrant délit... Zalevia traçait son chemin dans la neige épaisse de la forêt lorsqu'elle aperçut une silhouette s'approcher d'elle, d'une démarche tout à fait normale. La soldat resta tout de même sur ses gardes, jusqu'à ce que cette personne ait une bulle au cerveau et se mette à courir vers elle comme un désaxé, pour finalement la prendre dans ses bras comme une personne qu'il n'avait pas vu depuis des années.
« Oh tu es trop choupinette ! Laisse-moi t’adopter mon enfant ! Je sais que ma femme ne sera pas contente mais on s’en fout ! Tu es trop adorable ! »
Elle s'apprêta à l'attaquer, mais ensuite elle se dit que cet homme devait... Être atteint d'une maladie mentale ou quelque chose du genre. Car il la relâcha, mais ce qui suivit était encore mieux pour soutenir qu'il n'avait pas toute sa tête.
« Qui ressemble à une peluche ? Qui ressemble à une peluche ? C'est toi ! »
Face à ce spectacle, la monstresse afficha l'air le plus blasé et sérieux qui soit, sachant garder son professionnalisme en restant complètement indifférente face à ce spectacle de pur délire.
"Monsieur... Je vous prierais d'arrêter de me pincer des joues en m'appelant "peluche", s'il vous plaît... Vous savez, la maladie mentale n'a rien de honteux..."
Elle s'éclaircit la gorge en replaçant les épaulettes de son armure pour qu'elles soient bel et bien en place.
"De plus, je n'ai pas besoin d'être adoptée, je suis majeure, je crois que je suis en mesure de prendre des décisions en tant qu'adulte."
Elle garda le dos droit et regarda l'homme directement dans les yeux.
"Vous aviez besoin d'autre chose ?" |
| | | Haelwezhenn Bellovesus
Je suis un hybrideAfficher infos Messages : 30 Age : 30 Humeur : à partir chez IKEA pour une partie de cache-cache. Feuille de personnageVie: (35/35)lv/LV: 6Inventaire:
| Sujet: Re: Let me adopt you, lovely plush : [PV Zelevia] Ven 16 Déc - 23:52 | | | | "Promenons-nous dans les bois ♫" Elle ne semblait pas comprendre à quel point il la désirait, non, elle ne devait pas se rendre compte à quel point cet amour paternel factice commençait de plus en plus à s’accroître. Elle le repoussait, elle ne voulait pas de lui, elle n’acceptait pas de devenir son enfant, elle y refusait. Ses mots le touchaient, le blessaient, ils lui faisaient aussi mal que ses propres couteaux de cuisine enfoncés dans son dos, sa poitrine ou peut-être même dans son ventre. Non, cette jeune monstresse, elle serait sa fille ou alors elle n’appartiendrait à personne. Les larmes aux yeux, notre homme posa ses mains sur les épaulettes de la demoiselle avec son grand sourire :
« Justement ! Je suis atteint de maladie mentale ! Je n’en ai pas honte car je suis fou de toi ! »
Elle était majeure ! Tant mieux, il pourrait lui apprendre comment se battre. Ha non, elle faisait partie de la garde royale. Oh et puis, il pouvait bien lui apprendre à manier le couteau n’est-ce pas ? Il en avait bien le droit ? Après tout, qui irait apprendre le maniement d’une arme aussi basique que celle qu’on pouvait trouver dans les tiroirs de chaque maison ? Pas des gugusses qui se la pétaient avec leurs épées alors que lui avec quelques armes ridicules avait réussi à massacrer et enlever de nombreuses personnes, monstres comme humaines. Caressant les cheveux de la jeune fille sans même se dire que cela pouvait la déranger il continua :
« Mais si tu es majeure, ce n’est pas grave. Tu sais, j’ai adopté un enfant de vingt-trois ans mais il a été un fabuleux fils. Puis au final on s’est dit qu’il avait l’air plus d’un oncle, alors les enfants le considéraient comme tel. Normal en quelque sorte, il était un peu plus jeune que moi, alors le voir comme un frère à l’époque… il avait juste à l’époque trois ans de moins que moi. Oh lala… Dommage qu’il soit « parti ». »
Il laissa échapper un soupire en regardant droit devant lui, les yeux fixant le vide. C’était un jeune homme qui avait été enlevé, un monstre pour être honnête. Pelucheux, comme cette charmante demoiselle, mais plus docile qu’autre chose. Il se laissait faire, maltraiter par son « père ». Il avait peut-être été traumatisé à cause de lui. Pour une fois qu’il n’avait pas calciné la famille de sa proie celui-ci n’arrêtait pas de pleurer. Se mettant à côté de la créature qu’il venait tout juste de rencontrer il passa ses doigts dans le cuir chevelu de la jeune demoiselle.
« Si jamais il te venait à l’idée de venir me faire un câlin, de te faire adopter, n’hésite pas. Il y aura toujours une place pour toi au sein de la famille. Une maman aimante, un papa aimant, des frères et sœurs… » Un nouveau tableau s’affichait devant lui. Il s’imaginait, là, assis sur un fauteuil qu’il avait dû nettoyer à plusieurs reprises, faute de sang, de cendres et d’autres salissures. Il regardait avec tendresse ses victimes, celles qu’il considérait comme ses progénitures. Chacune avait une façon différente d’être née dans son cœur. Il se persuadait qu’elles étaient de son sang. Il fallait bien ça pour les aimer autant qu’il les adorait, même si son amour n’était que factice et temporaire. Et dans cette petite foule, une petite monstresse à cornes était présente, buvant un chocolat chaud. Oui, le bonheur c’était ça. Il devait vivre ça. Il devait vivre ce moment. Il fallait cette soldate dans sa famille, elle était indispensable. La serrant contre lui, Haelwezhenn frotta sa joue contre celle de sa future victime.
« Laisse-moi t’adopter. Alleeeeez. Juste pour rendre un pauvre homme heureux. »
Peut-être qu’elle avait déjà des parents ? Devait-il les tuer ? Toujours souriant, il demanda :
« Ce sont tes parents le souci ? Tu es majeure et vaccinée non ? Tu peux te décider à les lâcher quand tu veux. D’ailleurs, je peux aller les voir…. Si tu ne vois pas de problèmes. »
HS : Désolée du retard de temps de réponse >< Tu peux me frapper si tu veux, je t'u autorise. Shame on me. |
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| | | | Let me adopt you, lovely plush : [PV Zelevia] | |
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